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J'ai "oublié" d'écouter Sarko
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J'ai "oublié" d'écouter Sarko
J'ai "oublié" d'écouter Sarko
Je dois bien être étourdi pour avoir ainsi oublié ce "rendez-vous d'avec les Français".
A moins que peut-être de guerre las, je me sois dit:
Si j'étais moqueur - mais je ne le suis pas, non, non ! -, je pourrais même ressortir un de mes vieux textes sur le discours Sarkozien, en bidouiller deux/trois passages et le ressortir sans avoir peur d'être hors sujet.
Mais non, juste envie de dire que plutôt que ses inutiles "ministres de la confusion des déclarations contradictoires", c'est ses conseillés en communication que notre président devrait se préoccuper de "remanier".
L'acharnement rhétorique, la redondance posturale, la mimique comme argument politique, tout cela, notre Nico national nous le sort et ressort à tout va depuis qu'un fameux jour de ... (je ne sais plus la date, si quelque historien pouvait voler à mon secours...) nous apprenions ébahi qu'il y pensait, mais pas qu'en se rasant, donc qu'il y pensait tout le temps, et que comme une célèbre marque, Sarko y rêvait, les Français l'ont fait. A croire que L'Élysée est devenu le lieu "in" des publicistes de Navarre.
La seule vraie indication que je tire de cela, c'est que sa côte de popularité doit être bien basse pour que notre Nico tente ainsi une OPA amicale sur l'opinion des "administrés".
A t-on pensé à faire une côte de popularité des Français dans l'opinion du président ...?
Celle-là, oui, elle m'intéresserait. Car franchement, elle doit être encore plus basse, celle-là, pour qu'il s'adresse à nous en usant ainsi de toute la solennité de la République pour nous faire un peu de théâtre classique. Manque plus que la toge et nous voici à Rome des Césars.
Notre petit Nicolas nous prend pour des nigauds et ça, c’est pas gentil !
Chronique du Nouvel Obs: Une interview pour rien
Opération purement médiatique donc, seule réelle préoccupation du chef de l'état quant à sa relation au peuple.
Sans doute pense t-il qu'une fois son bulletin hors de ses mains, la phrase "A voté" clôt pour 5 ans les paupières du citoyen et ne lui autorise qu'une seule chose: retourner dormir au son des machines-outils.
"Français, votre probléme, c'est que vous ne travaillez pas assez !" Et sans doute la suite de la phrase serait "et que vous vous occupez trop de ce qui ne vous regarde pas".
Oups ! Désolé de ne pas être très preneur de ce métier là: Dindon de farces et attrapes.
Jeffe
Laveur de vaisselle
_________________________________________
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Le réseau freemen
Société de l'inutile
Crise alimentaire mondiale : le FMI et la banque mondiale craignent le pire
Tibet/Chine Pourquoi aujourd’hui et pas hier ?
A moins que peut-être de guerre las, je me sois dit:
"A quoi bon, je connais le scénario par cœur. depuis le temps que je les lis...ses scénars..."
Si j'étais moqueur - mais je ne le suis pas, non, non ! -, je pourrais même ressortir un de mes vieux textes sur le discours Sarkozien, en bidouiller deux/trois passages et le ressortir sans avoir peur d'être hors sujet.
Mais non, juste envie de dire que plutôt que ses inutiles "ministres de la confusion des déclarations contradictoires", c'est ses conseillés en communication que notre président devrait se préoccuper de "remanier".
L'acharnement rhétorique, la redondance posturale, la mimique comme argument politique, tout cela, notre Nico national nous le sort et ressort à tout va depuis qu'un fameux jour de ... (je ne sais plus la date, si quelque historien pouvait voler à mon secours...) nous apprenions ébahi qu'il y pensait, mais pas qu'en se rasant, donc qu'il y pensait tout le temps, et que comme une célèbre marque, Sarko y rêvait, les Français l'ont fait. A croire que L'Élysée est devenu le lieu "in" des publicistes de Navarre.
La seule vraie indication que je tire de cela, c'est que sa côte de popularité doit être bien basse pour que notre Nico tente ainsi une OPA amicale sur l'opinion des "administrés".
A t-on pensé à faire une côte de popularité des Français dans l'opinion du président ...?
Celle-là, oui, elle m'intéresserait. Car franchement, elle doit être encore plus basse, celle-là, pour qu'il s'adresse à nous en usant ainsi de toute la solennité de la République pour nous faire un peu de théâtre classique. Manque plus que la toge et nous voici à Rome des Césars.
Notre petit Nicolas nous prend pour des nigauds et ça, c’est pas gentil !
Chronique du Nouvel Obs: Une interview pour rien
Opération purement médiatique donc, seule réelle préoccupation du chef de l'état quant à sa relation au peuple.
Sans doute pense t-il qu'une fois son bulletin hors de ses mains, la phrase "A voté" clôt pour 5 ans les paupières du citoyen et ne lui autorise qu'une seule chose: retourner dormir au son des machines-outils.
"Français, votre probléme, c'est que vous ne travaillez pas assez !" Et sans doute la suite de la phrase serait "et que vous vous occupez trop de ce qui ne vous regarde pas".
Oups ! Désolé de ne pas être très preneur de ce métier là: Dindon de farces et attrapes.
Jeffe
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Dernière édition par jeffe le Lun 28 Avr - 15:48, édité 17 fois
jeffe- Messages : 581
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Age : 65
La chronique du Nouvel Obs
Source
Que penser de l'intervention de Nicolas Sarkozy hier soir?
Que le président de la cinquième puissance mondiale, membre permanent du Conseil de Sécurité des Nations Unies, puissance nucléaire reconnue, n'a rien dit sur sa politique étrangère - ou si peu.
Rien, ou si peu, sur l'Europe alors que la France va présider l'Union le 1er juillet. Rien sur ses ambitions pour les 27, sur l'Europe de la Défense, sur l'Union pour la Méditerranée, sur la politique énergétique commune.
Rien sur l'Otan, dont il a décidé que la France allait rejoindre le commandement intégré - décision historique qu'il va bien falloir justifier, un jour ou l'autre.
Rien sur la Russie, qui va changer de président dans deux semaines et dont le comportement inquiète chaque jour davantage.
Rien sur le conflit israélo-palestinien, rien sur la Syrie, rien sur le Liban où Bernard Kouchner s'est pourtant
rendu tant de fois. Rien, toujours rien, sur la guerre en Irak.
Rien sur la crise alimentaire mondiale. Et, sur le peu qu'il a dit, il n'a pas été à la hauteur.
Sur l'Iran, il a assuré avec beaucoup de solennité qu'il ne rencontrerait jamais Ahmadinejad, à cause de ses propos infâmes sur Israël, alors qu'il y a seulement quelques semaines, dans le Nouvel Observateur, il avait envisagé de le faire.
Sur l'Afghanistan, il a été exécrable. Bien sûr, le sort des femmes et des jeunes filles était, comme il l'a asséné, atroce sous les talibans. Mais comment peut-il laisser entendre que la France a décidé d'intervenir là-bas pour changer cet état de fait insupportable? Jacques Chirac et Lionel Jospin ont envoyé des troupes à Kaboul fin 2001 pour soutenir l'Amérique, notre allié qui ripostait en légitime défense après le 11 septembre.
En outre, aujourd'hui, il faut sortir de cette guerre de sept ans. Et, pour cela, n'en déplaise avec Nicolas Sarkozy, il faudra bien, un jour ou l'autre, négocier avec l'ennemi, les talibans.
Sur l'élargissement de l'Europe, il a défendu une position antidémocratique -pas de référendum pour les nouvelles entrées sauf la Turquie, s'il est toujours président. Or on sait que l'une des raisons du rejet de la "constitution" a été ce manque de transparence dans le processus - souhaitable- de l'élargissement à l'est. Il aurait pu justifier cette posture en disant qu'elle favorisera peut-être l'Europe de la Défense.
En effet, la Turquie bloque tout rapprochement entre l'Otan et l'Union Européenne en représailles à l'attitude française (et allemande) vis à vis de son éventuelle adhésion à l'Union; en laissant planer le doute sur la tenue d'un référendum (le prochain président français pourrait ne pas en organiser), il peut faire décroitre l'hostilité
turque et favoriser la défense européenne. Mais il n'a rien dit de tout cela - qui est pourtant si important.
Il n'y a que sur la Chine qu'à mon sens, il a été assez convainquant. Elaborée après bien des couacs, sa doctrine de la voie moyenne, un zeste d'idéalisme et une grosse pincée de realpolitik, n'est pas forcément idiote (même si elle n'est pas très glorieuse). Et il a raison de rappeler qu'il doit s'efforcer de trouver un consensus entre les 27 avant de présenter sa position finale puisque ce sera celle, de fait, de l'Union Européenne.
Dernière édition par jeffe le Ven 25 Avr - 13:23, édité 2 fois
jeffe- Messages : 581
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En 2006 au Figaro mag
L'image de Nicolas Sarkozy
Source
Fiche Technique
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Fiche Technique
Étude réalisée les 14 et 15 juin 2006 pour Le Figaro magazine auprès d'un échantillon national de 1000 personnes représentatif de l'ensemble de la population âgée de 18 ans et plus, interrogées en face-à-face. Méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de ménage PCS) et stratification par région et catégorie d'agglomération.
Les résultats
L'image de Nicolas Sarkozy
Question : Diriez-vous de Nicolas Sarkozy qu'il vous rassure ou qu'il vous inquiète ?
- Il vous rassure | 36 |
- Il vous inquiète | 55 |
- Sans opinion | 9 |
Question : Et diriez-vous de Nicolas Sarkozy qu'il est séduisant ou qu'il n'est pas séduisant ?
- Il est séduisant | 39 |
- Il n'est pas séduisant | 61 |
- Sans opinion | 0 |
Question : Selon vous, Nicolas Sarkozy est-il plutôt un gaulliste ou plutôt un libéral ?
- Plutôt un gaulliste | 17 |
- Plutôt un libéral | 49 |
- Les deux (réponse non suggérée) | 3 |
- Ni un gaulliste, ni un libéral (réponse non suggérée) | 10 |
- Sans opinion | 21 |
Question : Faites-vous plutôt confiance ou plutôt pas confiance à Nicolas Sarkozy pour :
| Plutôt confiance | Plutôt pas confiance | Sans opinion |
- Faire preuve d'autorité | 83 | 14 | 3 |
- Lutter efficacement contre la délinquance | 62 | 33 | 5 |
- Réduire le nombre des fonctionnaires | 62 | 27 | 11 |
- Tenir ses engagements | 58 | 35 | 7 |
- Résorber la violence dans les banlieues | 55 | 40 | 5 |
- Prendre les bonnes décisions en matière d'immigration | 51 | 43 | 6 |
- Développer de bonnes relations avec les Etats-Unis | 49 | 32 | 19 |
- Etre indépendant de toutes pressions | 49 | 40 | 11 |
- Redonner à la France une plus grande influence dans le monde | 47 | 42 | 11 |
- Réduire l'audience de l'extrême droite | 46 | 41 | 13 |
- Lutter contre le racisme et la xénophobie | 46 | 46 | 8 |
- Dire la vérité | 44 | 48 | 8 |
- Mettre fin aux gaspillages de l'Etat | 44 | 46 | 10 |
- Redonner confiance aux Français | 44 | 47 | 9 |
- Faire face à une crise internationale | 43 | 45 | 12 |
- Relancer l'Europe | 41 | 43 | 18 |
- Lutter contre les injustices et les inégalités | 41 | 51 | 8 |
- Moraliser la vie politique | 40 | 47 | 13 |
- Préserver le système de santé | 40 | 46 | 14 |
- Réduire la dette de la France | 40 | 47 | 13 |
- Faire preuve d'humanité | 40 | 50 | 10 |
- Préserver l'unité des Français | 40 | 50 | 10 |
- Pratiquer la concertation | 39 | 49 | 12 |
- Être aussi sévère avec les puissants qu'avec les faibles | 39 | 50 | 11 |
- Promouvoir les femmes | 39 | 45 | 16 |
- Lutter efficacement contre le chômage | 37 | 52 | 11 |
- Améliorer l'Education nationale | 37 | 51 | 12 |
- Améliorer l'environnement | 35 | 50 | 15 |
- Améliorer le fonctionnement des 35 heures | 34 | 52 | 14 |
- Comprendre la vie des gens comme vous | 34 | 58 | 8 |
- Lutter contre les délocalisations | 30 | 55 | 15 |
- Préserver le montant des retraites | 29 | 56 | 15 |
- Réformer le code du travail dans le sens que vous souhaitez | 29 | 56 | 15 |
- Augmenter le pouvoir d'achat des Français | 28 | 60 | 12 |
- Réduire les impôts | 24 | 65 | 11 |
Dernière édition par jeffe le Ven 25 Avr - 13:24, édité 2 fois
jeffe- Messages : 581
Date d'inscription : 16/03/2008
Age : 65
Avril 2008
Je suis le premier à me méfier, voir me détourner des sondages d'opinion, mais quand on atteint un point tel, ces sondages ne deviennent-ils pas des sirennes hurlant la cruelle réalité ?
Source: AFP
Les Français jugent sévèrement le bilan de Sarkozy, selon plusieurs sondages
Il y a 1 jour
PARIS (AFP) —
Un an après l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, plusieurs sondages témoignent d'un fort rejet de sa politique par les Français qui, très majoritairement, considèrent que sa première année de mandat n'a pas été à la hauteur des promesses prodiguées.Les sondages publiés ces derniers jours confirment la tendance déjà perceptible, depuis le début d'année, dans les enquêtes d'opinion et qui s'est notamment concrétisée dans la victoire de l'opposition aux élections municipales.Selon un sondage Ifop-Fiducial pour Paris-Match, rendu public mardi, 72% des Français sont mécontents du bilan de Nicolas Sarkozy, contre seulement 28% qui se disent satisfaits.
Un précédent sondage Ifop, pour le JDD cette fois, affichait un taux record de 79% de Français considérant qu'en un an de présidence le président n'a pas amélioré leur situation.
Même sévérité de jugement dans un sondage Viavoice pour Libération: pour 59% de personnes interrogées l'an un du quinquennat Sarkozy est "un échec". 20% seulement y voient un succès.
Et selon un sondage CSA pour Valeurs actuelles, rendu public mercredi, à peine plus d'un Français sur quatre (28%, - 2 points) estiment que l'action de Nicolas Sarkozy va "plutôt dans le bon sens".
Selon Frédéric Dabi de l'Ifop, l'actuel occupant de l'Elysée obtient, au terme d'un an de mandat, des scores de satisfaction inférieurs à ceux de tous ses prédécesseurs, y compris Jacques Chirac en 1996, au sortir de la grave crise sur les retraites.Comment en 12 mois est-on passé ainsi d'un capital de confiance et d'un lien inégalés avec les Français, à une défiance qui touche aujourd'hui la quasi-totalité des secteurs de l'action présidentielle?Pour Stéphane Rozès de CSA, la chute brutale de Nicolas Sarkozy, perceptible dès le début janvier, s'explique par "la
conjonction de deux facteurs: une surexposition de sa vie privée qui semble rabaisser la fonction présidentielle et l'impression qu'il s'éloigne de son projet qui fait du pouvoir d'achat la contrepartie du travail et du mérite".
"Sarkozy a chuté par son changement de posture, en s'éloignant du récit de sa campagne, de la cohérence qui était la sienne, et de sa fonction", explique-t-il. Et ce n'est pas un hasard si parmi les abstentionnistes des municipales on retrouvait beaucoup de personnes âgées et de membres des couches populaires nouvellement acquises à la cause sarkozyste, deux catégories particulèrement sensibles à ces questions.
La désillusion ressentie sur la question du pouvoir d'achat est pour Frédéric Dabi la principale cause de la désaffection des Français envers leur président, avec 10% seulement qui jugent positivement la politique menée dans ce domaine (Ifop Paris-Match).Alors que ce thème était "au coeur de la notion de rupture", avec notamment le "travailler plus pour gagner plus", les Français ont l'impression d'une "dissonance forte entre le discours du candidat et la réalité".
Reste à savoir si le chef de l'Etat peut rebondir et à quelle échéance. Là encore, les sondeurs s'accordent sur un point: la nécessité pour lui de redonner de la "cohérence" à l'action présidentielle."Le pays veut de la lisibilité. Il attend du président une cohérence dans l'action et une capacité à dessiner le chemin avec un point de départ et un point d'arrivée", assure M. Rozès."Les Français veulent une méthode et un cap", renchérit M. Dabi.
Mais la capacité de rebond de Nicolas Sarkozy, liée aux résultats sur le pouvoir d'achat, semble limitée à court terme".
jeffe- Messages : 581
Date d'inscription : 16/03/2008
Age : 65
Re: J'ai "oublié" d'écouter Sarko
Autant le dire, quitte à me répéter, je n'aime pas cet homme, qu'il fusse Président ou quoique soit d'autre.
Mais cela ne m'empêche tout de même pas une certaine "compassion" à son égard, car bien franchement, je le plains comme homme autant que je le critique comme chef d'état.
Je le plains et me demande s'il a bien prit toute la mesure de la phrase qui scanda sa campagne électorale.
" Je serai le Président de la rupture !" nous a t-il promis.
Et je crois que sa promesse sera tenue.... mais pas par lui, malgré lui.
Car rupture il y a déjà.
Mais si lui pensait rupture dans la manière de gouverner, la rupture qu'il risque (mais n'est-ce pas déjà le cas) d'avoir à affronter est celle d'une digue lâchant des flots incontrôlables.
La seule réelle question que je me pose:
N'a t-il pas, ayant été ministre du budget puis ministre d'État, de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, pris la juste mesure de ce qui se passe aujourd'hui ?
A moins que d'être ministre n'implique pas d'être au courant des réalités du monde ...
Aurait-il un plan secret efficace ? Car pour l'instant, la seule réalité qu'il nous donne à voir de sa stratégie face aux énormes défis qui se lèvent de part le monde est une politique de restriction budgétaire doucereuse ...
Quelques sacs de sables pour arrêter un tsunami, est-ce bien raisonnable ?
Mais cela ne m'empêche tout de même pas une certaine "compassion" à son égard, car bien franchement, je le plains comme homme autant que je le critique comme chef d'état.
Je le plains et me demande s'il a bien prit toute la mesure de la phrase qui scanda sa campagne électorale.
" Je serai le Président de la rupture !" nous a t-il promis.
Et je crois que sa promesse sera tenue.... mais pas par lui, malgré lui.
Car rupture il y a déjà.
Mais si lui pensait rupture dans la manière de gouverner, la rupture qu'il risque (mais n'est-ce pas déjà le cas) d'avoir à affronter est celle d'une digue lâchant des flots incontrôlables.
La seule réelle question que je me pose:
N'a t-il pas, ayant été ministre du budget puis ministre d'État, de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, pris la juste mesure de ce qui se passe aujourd'hui ?
A moins que d'être ministre n'implique pas d'être au courant des réalités du monde ...
Aurait-il un plan secret efficace ? Car pour l'instant, la seule réalité qu'il nous donne à voir de sa stratégie face aux énormes défis qui se lèvent de part le monde est une politique de restriction budgétaire doucereuse ...
Quelques sacs de sables pour arrêter un tsunami, est-ce bien raisonnable ?
jeffe- Messages : 581
Date d'inscription : 16/03/2008
Age : 65
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